Mum est une autofiction à mi-chemin entre théâtre et performance.
J’ai d’abord cherché, sous forme de texte, à explorer les histoires qui (dé)composent la vie de ma mère, partant de sa mort comme l’événement qui déclenche le récit.
Qui était cette femme ?
Je crois me souvenir qu’elle se transformait sans cesse. Elle était un poème vivant.
Le théâtre peut devenir l’endroit d’une cérémonie ludique et profane où l’on réveille les morts, où il est permis de leur demander de nous envoyer un signe, une réponse, une énigme, un baiser.
Mum est un témoignage rituel, une invitation à considérer l’intime et le vulnérable comme des puissances sensibles, qui nous réparent et nous relient.